Jusqu’au début des années 1850, la viticulture ardéchoise connaissait un bel épanouissement. Mais brutalement, en l’espace d’une génération, trois fléaux majeurs ont frappé le monde viticole. Avec les ravages de l’Oïdium, ceux du Phylloxera, puis la prolifération du Mildiou, la survie des vignobles paraissait compromise.
Les moyens de lutte ont été nombreux, souvent efficaces, chaque fois la profession a fini par trouver des parades décisives. Désormais, une viticulture totalement transformée privilégie des nouveaux cépages et des vins de qualité.
Yves Morel, enseignant.